Ce que je vis dans ce stage est la possibilité de faire un chemin, de clarifier la vision, de faire le lien entre toutes les disciplines : il y a une part spirituelle, il y a une part scientifique, il y a une part humaine.
Des outils sont proposés. Il faut vraiment faire attention au guide d’utilisation de ces outils. Et ça, il faut le vivre pour s’en rendre compte. Il ne s’agit pas simplement de prendre un outil et l’utiliser. Il faut quelque part l’incarner et l’animer. Je peux m’approprier et incarner ce à quoi j’aspire le plus. Je mets de la clarté, en fait. Le cadran dynamique est un GPS utile, quand tout semble flou. Cet outil permet d’organiser, de réaligner. Ce sont des mots que les animatrices utilisent souvent. Il faut sentir vraiment la valeur de ces mots pour après les appliquer.
Si je ne suis pas en concordance avec ces mots, si je ne vois pas clair derrière ces mots, alors je ne perçois pas l’intégrité qui permet d’être en concordance avec ces mots, ces outils.
C’est un tout, il y a une forme de cohérence, un tout. On a souvent appris à voir un petit bout et non à voir la globalité. J’ai les yeux qui s’ouvrent petit à petit. C’est une ouverture progressive qui donne une autre dimension.
